7 Béliers partagent leur expérience au High Five Camp 2024

Jeudi 2 mai se déroulait le premier jour du traditionnel camp de basket organisé par l’UJAP Quimper Basket, le High Five Camp. Pour cette occasion, sept de nos Béliers se sont prêté au jeu et ont participé à une activité d’échange avec les jeunes.

Un camp mixte de perfectionnement de basket pour les jeunes, le High Five Camp, c’est ce que propose chaque année l’UJAP Quimper Basket depuis maintenant 10 ans. Composé à 70% de licenciés de l’UJAP, le camp est aussi ouvert aux jeunes d’autres clubs. Cette année, l’évènement “a particulièrement eu du succès” puisqu’il a réunit 98 inscrits, âgés de 7 à 16 ans, encadrés par 15 coachs. Durant 4 jours, 2 pour les plus petits (U9 et U11), les joueurs ont eu un emploi du temps bien rempli. Au programme : ateliers de perfectionnement le matin, tournois de basket l’après-midi et soirées surprises extra basket en fin de journée. Parmi ces “surprises” étaient notamment prévues une battle de hip hop, en collaboration avec les danseurs de la Hip Hop New School de Quimper, ou une initiation au skateboard et à la trottinette. Cerise sur le gâteau : tous les inscrits ont assisté au match retour des 8e de finale des play-offs des Béliers, le vendredi 3 au soir, ainsi qu’à la belle le dimanche. Mais avant ces rencontres au sommet, les joueurs professionnels ont pris le temps de rendre une petite visite aux enfants.

De quoi avoir des étoiles plein les yeux

Pour leur premier après-midi au camp, les jeunes ont eu la chance de rencontrer 7 de nos Béliers : Ron Anderson Jr, Antoine Dudit, Alioune Bruno, Soriah Bangura, Momar Ndoye, Sylvère Mambangui et Benoît Injai. Durant deux heures, les basketteurs ont participé à un atelier questions-réponses avec les enfants. “On était répartis en plusieurs groupes, 2 joueurs par groupe, les jeunes posaient des questions.” expliquait Benoît Injai. Une expérience unique pour les jeunes ! “Ça leur permet de rêver déjà, peut-être certains d’avoir des objectifs. Et puis, avoir un discours de joueurs pro c’est se dire aussi que ce n’est pas si facile de faire basketteur, que ce n’est pas ouvert à tout le monde, qu’il faut travailler et avoir les pieds sur terre.” indiquait Steven Roumegoux, éducateur sportif de l’association.

Encore du chemin à parcourir…

Tout à fait d’accord avec lui, Injai ajoutait : “C’est bien, ça leur permet de se rendre compte un peu de ce que c’est que d’être basketteur professionnel et puis de connaître un peu notre parcours, comment on vit tous les jours. C’est toujours bien quand on est jeune d’avoir des conseils. C’est sympa, c’est toujours des bons moments.” L’objectif reste certes difficile à atteindre mais pas impossible, comme le rappelle Steven : “On a de beaux exemples comme Sylvère, comme Alioune, qu’on a eu au centre de formation”. Une chose est sûre, suite à ce camp les jeunes ont de quoi rêver grand.

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